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LA PULSOLOGIE, CLÉ DE LA MÉDECINE INFORMATIVE

Mise à jour le 2022 03 21

 

Une orientation insolite de la médecine se fait jour.
A priori cette nouvelle médecine semble reposer sur la biophysique après avoir beaucoup reposé sur la biochimie.
Mais en réalité ce sont des Champs d’information purs qui fondent cette médecine. Ces champs émanent tant du vivant que de la matière inerte. Ils sont à l’origine de toute communication ; ils initient toute fonction biologique.

Ces champs informatifs, excessivement faibles, ne peuvent être captés, à ce jour, que par un instrument essentiellement biologique, un instrument effecteur extraordinaire : le système artériel en général, le pouls radial en particulier. Ce pouls est une mine d’or, il mérite bien l’enseignement que nous lui consacrons. La Pulsologie est autant le sujet de notre étude que le moyen impressionnant de faire entrer la Médecine dans une sphère nouvelle.

La Pulsologie (ou Sphygmologie pour les puristes) est d’abord l’art de capter les signaux émis par le pouls radial des malades. Le pouls radial s’exprime dans un langage émanant de l’artère et s’articulant autour de 2 ondes assez stationnaires ; ceci permet au médecin de les analyser par palpation (avec son pouce).
La Pulsologie a permis aux Chinois, il y a près de 3000 ans, d’élaborer l’Acupuncture. Ce langage artériel, de nature ondulatoire, n’a jamais été décrit pour diverses raisons.

Les champs biologiques informatifs, qui ne sont pas EM, sont à la source de ce que le corps appréhende et que le pouls traduit sous forme d’ondes mécaniques palpables. Ainsi, tout être vivant, tel un portable, reçoit et émet des champs spécifiques biologiques, et le pouls en témoigne de manière mécanique comme le fait un haut-parleur.
Ces champs informatifs ont leurs lois qui, non respectées, peuvent conduire à des brouillages ou à des blocages de la communication ; le pouls en témoigne. Ceci constitue toute la problématique du chercheur qui travaille à découvert dans ces champs biologiques.

L’ignorance de ces lois a sans doute été à l’origine d’une partie des problèmes que les Chinois anciens ont rencontrés pour contrôler le langage du pouls. Ils ont nettement posé les fondations de l’acupuncture, mais les théories, qu’ils ont conçues alors, contrastent avec les multiples recettes disséminées qu’ils nous ont léguées.

Le Dr Paul Nogier de Lyon (père de l’auriculothérapie) a redécouvert ce langage dynamique, il en est « l’inventeur » selon la terminologie des archéologues. Son précurseur immédiat est le Pr René Leriche, chirurgien vasculaire et physiologiste, Lyonnais comme lui.

Trop instruit des champs électromagnétiques et non des champs biologiques purs, le Dr P. Nogier a dû faire face, dans ses multiples expérimentations, à de nombreuses ambigüités et déconvenues.

Cet essai, que nous vous livrons, reprend cette étude. Il révèle dans le détail, comment, à partir du pouls et de son langage, les Chinois ont pu, il y a 3000 ans, définir les points et les méridiens d’acupuncture. La description pulsologique de ces 2 entités virtuelles explique pourquoi les recherches anatomiques entamées depuis 50 ans se sont avérées vaines.

Cette étude révèle les importantes interactions de la peau avec le milieu ambiant. La peau est l’interface des champs informatifs. Tout le revêtement cutané, telle la membrane de chacune de nos cellules est apte à dialoguer avec son environnement. La peau capte toute information et exprime au niveau du pouls sa relation envers les substances du milieu ambiant. Des détecteurs idoines suffisent à canaliser ce dialogue cutané. Celui-ci ne peut toutefois se produire que sur un sujet au repos, au sein d’un champ d’examen Informatif ambiant stable.

La Pulsologie relève fondamentalement de l’Examen Clinique. Elle repose sur le « toucher », la palpation. Il n’existe pas encore d’instrument scientifique capable de rivaliser avec la sensibilité tactile et la perception du praticien.
Le tact du pouce du médecin est un instrument incomparable par sa définition (1250 capteurs au cm²) ; il offre à la recherche médicale et pharmacologique, autant qu’au diagnostic et à la thérapie, une aide majeure.

La Pulsologie biophysique embrasse un vaste domaine et son extension vers la Biologie Numérique conforte les travaux de J. Benveniste, moins sur la « Mémoire de l’eau » que sur la possibilité de transférer les informations biologiques vers un certain nombre de supports.
Nous verrons en effet comment les résultats de nos tests réels (informations pharmacologiques) et virtuels (informations numériques) se recoupent de manière surprenante ; d’ores et déjà nous pourrions graver sur une clé USB le contenu informationnel de toute une pharmacothèque.

Nous consacrons aux « remèdes numériques » un site particulier : www.remedes-numeriques.com .
Un autre site, voué aux pathologies est aussi consultable : www.soins-numerises.com.

Cette approche pulsologique innovante ne peut être que réprouvée par nos scientifiques contemporains. Elle est « hors sol ». Les sciences dures ont leurs protocoles propres reposant sur des instruments solides et exprimant leurs résultats sous forme Visuelle. Notre approche Tactile sort du cadre de ces habitudes scientifiques.

La Pulsologie est donc étrangère aux préoccupations de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale, l’INSERM, qui se cristallisent, avec succès, sur la génomique.

Jacques Benveniste lui-même, pourtant formé à la recherche académique et technique lourde, a rencontré ces champs biologiques inexplorés dont il a été victime : ses pairs l’ont évincé de L’INSERM. Qu’attendre d’une technique aussi clinique que celle que nous offre la Pulsologie ?

La Pulsologie nous conduit, en pratique, vers une approche médicale nouvelle qui fait son humilité.  Elle vise cependant 1/ à asseoir l’acupuncture de manière définitive 2/ à déceler toute pathologie iatrogène, toute intoxication d’origine médicamenteuse, et ce dans des délais très brefs 3/ à déterminer la thérapeutique la plus ciblée qui soit pour un malade donné, dans l’état actuel de nos connaissances.

Pour l’auteur, ce présent site a un objectif majeur : encourager tout chercheur à développer son acuité tactile, comme le fait tout aveugle qui apprend à lire en braille.

Dr J-C T